Je voudrais rectifier une légère petite chose concernant mon harem. Je tiens donc à ajouter une autre femme parmi celles que j'ai recensées précédemment : Nneka.
Nneka c'est... Nneka. Une attitude, une voix, un talent, une femme comme on en voit peu. Comme j'en vois peu.
Au départ, elle fait peur avec son visage fermé, sévère. Mais cette bulle c'est une carapace fragile.
En concert, elle est soufflante. Sa voix te transperce les oreilles. Tu la ressens "from your head down to your feet" comme dirait ma deuxième femme et tu la ressens aussi par ton ventre chamboulé. Tu es partagé entre l'envie de fermer les yeux et te laisser porter par l'état second (et oui elle me le permet un peu en concert) qu'elle transmet sans le savoir et l'envie de maintenir les yeux ouverts, écarquillés, brillants sur elle, pour pouvoir admirer toute la beauté de son visage et de son corps, pour ressentir avec elle sa force, s'imprégner de sa musique et la voir vivre sa musique, le visage marqué par ses émotions. Quand Nneka chante, on croit qu'elle va pleurer à chaque note tellement elle vit le moment. Elle ne joue pas, elle est impliquée.
Quand je pense à Nneka en concert, maintenant, j'ai le ventre noué. Aux Solidays, j'avais pris une claque en découvrant son show, une petite femme comme ça ne peut pas avoir cette puissance, c'est incroyable. Et si, Nneka, c'est une déesse, elle peut tout faire. La revoir à la RockSchool, dans une salle intimiste, proche d'elle et reprendre la même claque, c'était tout ce que j'attendais. Et c'est fait !
Je ne devrais pas me fier à mes premières impressions musicalement parlant. Parce que je me rend compte qu'à chaque fois, pour des artistes hors du commun, je n'ai pas adoré dès le début. C'est souvent après plusieurs écoutes que je suis devenue accro. C'est l'effet cigarette.
Ce sont mes exceptions à moi : Patrice, Ayo, Nneka, j'en passe.
Nneka au Solidays - 04/07/08 :
Nneka c'est... Nneka. Une attitude, une voix, un talent, une femme comme on en voit peu. Comme j'en vois peu.
Au départ, elle fait peur avec son visage fermé, sévère. Mais cette bulle c'est une carapace fragile.
En concert, elle est soufflante. Sa voix te transperce les oreilles. Tu la ressens "from your head down to your feet" comme dirait ma deuxième femme et tu la ressens aussi par ton ventre chamboulé. Tu es partagé entre l'envie de fermer les yeux et te laisser porter par l'état second (et oui elle me le permet un peu en concert) qu'elle transmet sans le savoir et l'envie de maintenir les yeux ouverts, écarquillés, brillants sur elle, pour pouvoir admirer toute la beauté de son visage et de son corps, pour ressentir avec elle sa force, s'imprégner de sa musique et la voir vivre sa musique, le visage marqué par ses émotions. Quand Nneka chante, on croit qu'elle va pleurer à chaque note tellement elle vit le moment. Elle ne joue pas, elle est impliquée.
Quand je pense à Nneka en concert, maintenant, j'ai le ventre noué. Aux Solidays, j'avais pris une claque en découvrant son show, une petite femme comme ça ne peut pas avoir cette puissance, c'est incroyable. Et si, Nneka, c'est une déesse, elle peut tout faire. La revoir à la RockSchool, dans une salle intimiste, proche d'elle et reprendre la même claque, c'était tout ce que j'attendais. Et c'est fait !
Je ne devrais pas me fier à mes premières impressions musicalement parlant. Parce que je me rend compte qu'à chaque fois, pour des artistes hors du commun, je n'ai pas adoré dès le début. C'est souvent après plusieurs écoutes que je suis devenue accro. C'est l'effet cigarette.
Ce sont mes exceptions à moi : Patrice, Ayo, Nneka, j'en passe.
Nneka au Solidays - 04/07/08 :
Nneka à la RockSchool - 07/11/08 :
4 commentaires:
tu vois, j'ai bien raison de te saouler avec ma musique.
Complètement d'accord !
Tu m'en as fait découvrir tellement que je me demande encore comment j'arrive à tout retenir.
Avec de la passion tu peux faire aimer plein de trucs et comme Yuna est une passionnée folle furieuse... :P
corzéham !
Enregistrer un commentaire