2h03. Nuit blanche pour entamer cette journée déjà frustrante ; le Mc Do a eu raison de nous à 4h du mat', la blonde lunatique a une fois de plus usé de son pouvoir de séduction et même que le Lac Bleu de Léognan s'en souvient. Il a fait froid puis chaud cette nuit alors qu'on a vu tour à tour la pluie et le soleil déloger sa comparse nocturne vers 5h.
Rentrée à 7h21. Changement de décor. Prise de conscience et finalement pas sommeil. Je jette un coup d'oeil sur la pièce dans sa globalité ; y'a du boulot mais je me pose, je me relève, je tourne en rond, j'hésite, me rassois et patiente.
8h passées je peux enfin écrire. Ça va peut-être diminuer mon manque pensé-je. Et non, dommage.
8h08 fini, ça repart. Que faire ? Ne pas penser, ne surtout pas réfléchir. Trop tard. Bon, j'ai du travail. Non impossible. Je me remets à mon bricolage parce que ça, j'aime bien. Je rattrape le chat au vol, outch ! mon coeur palpite. Plus de risque, plus de peur, c'est posé, 3 en 1, impeccable. Et maintenant ?
11h. Faudrait dormir pour pas ressasser tout ça. 11h57, des nouvelles de papa, ça fait toujours plaisir mais ça m'y fait penser encore plus. Ça va pas ça ; faudrait dormir à nouveau. 14h03, des nouvelles d'Emeline et Yanis. Bientôt j'arrive, bientôt promis. L'impuissance. J'y pense encore plus, c'est dur. S'il n'y avait que ça...
Il fait beau. Pas craquer, pas sortir ou la conscience en prend un coup.
14h40. Réfréne-toi. Presque impossible. J'ai l'impression d'avoir 14 ans.
17h20 et je suis ailleurs, encore, impatiente. Je n'aimerais pas me voir quand je pars comme ça. Je cherche des solutions, je calcule, j'élabore des plans, ça tombe à l'eau. D'ailleurs de l'eau, il m'en faut ; une douche bouillante pour oublier. Aucun effet. Je ne sortirais pas ; retour à mon pyjama. Nouvelles absences.
Rentrée à 7h21. Changement de décor. Prise de conscience et finalement pas sommeil. Je jette un coup d'oeil sur la pièce dans sa globalité ; y'a du boulot mais je me pose, je me relève, je tourne en rond, j'hésite, me rassois et patiente.
8h passées je peux enfin écrire. Ça va peut-être diminuer mon manque pensé-je. Et non, dommage.
8h08 fini, ça repart. Que faire ? Ne pas penser, ne surtout pas réfléchir. Trop tard. Bon, j'ai du travail. Non impossible. Je me remets à mon bricolage parce que ça, j'aime bien. Je rattrape le chat au vol, outch ! mon coeur palpite. Plus de risque, plus de peur, c'est posé, 3 en 1, impeccable. Et maintenant ?
11h. Faudrait dormir pour pas ressasser tout ça. 11h57, des nouvelles de papa, ça fait toujours plaisir mais ça m'y fait penser encore plus. Ça va pas ça ; faudrait dormir à nouveau. 14h03, des nouvelles d'Emeline et Yanis. Bientôt j'arrive, bientôt promis. L'impuissance. J'y pense encore plus, c'est dur. S'il n'y avait que ça...
Il fait beau. Pas craquer, pas sortir ou la conscience en prend un coup.
14h40. Réfréne-toi. Presque impossible. J'ai l'impression d'avoir 14 ans.
17h20 et je suis ailleurs, encore, impatiente. Je n'aimerais pas me voir quand je pars comme ça. Je cherche des solutions, je calcule, j'élabore des plans, ça tombe à l'eau. D'ailleurs de l'eau, il m'en faut ; une douche bouillante pour oublier. Aucun effet. Je ne sortirais pas ; retour à mon pyjama. Nouvelles absences.
22h25. J'en suis là. Rien n'a changé depuis ce matin ; je n'aime ni l'absence, ni l'impuissance, ni la culpabilité, ni l'obligation, ni les 23, ni les dimanches, ni ce jour, ni cette fête.. Faut faire avec. Tss !
1 commentaire:
une pensée pour toi
sab
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