J'ai une fâcheuse tendance à me cogner partout ces derniers jours. Allez savoir pourquoi.
Quand ce ne sont pas les orteils nus dans les pieds de table en fer 2 fois par jours, c'est la tête dans les angles de meubles que le coussin du canapé n'a pas protégé ou bien la tête qui s'affale sauvagement sur le mur en pensant que l'épaule allait jouer l'amorti. Mais non malheureusement, une épaule c'est fourbe. Pour poursuivre dans la lancée des problèmes corporels, j'ai eu de bons maux de genoux bien fâcheux -pour changer-, mon poignet n'a cessé d'être pénible et de flancher quand je le monopolisais et un sacré bouton de fièvre m'empêche de bizooter comme je l'entends *frustrée*.
Il est possible que le sort s'acharne sur moi d'une autre manière aussi. Prenons exemple chez les amis cette semaine.
J'étais à Paris depuis vendredi jusqu'à ce matin. Une mini-semaine improvisée qui m'a permis d'aider un peu ma chérie à s'installer dans son premier vrai chez elle. :D
Je n'étais donc pas très disponible pour passer du temps avec qui que ce soit ces derniers jours. Hormis Clém que j'ai eu le plaisir de voir 2 fois durant ce court séjour parce que sa coloc' est situé à 2 rues de là, je n'ai pu (re)voir personne d'autres. Et ce ne sont pas les occasions -somme toute improbables- qui ont manqué ; être vue à Pigalle par un ami/ex d'enfance que je n'ai pas revu depuis des années et qui me demande de venir boire un verre mais ne recevoir son texto d'invitation que 2 heures plus tard *blasée*, ne pas savoir que ma suissesse de pote que je ne vois pas plus qu'une fois par an se trouve en week-end en amoureuses au même moment dans la ville, me situer au retour dans le même train que mon boulet n°1 de pote qui s'en va sur Toulouse la journée même et ce sans le savoir ni la croiser. C'en est trop, je pense que le monde se fout de ma gueule parfois.
Si je rajoute qu'en plus de ça, j'ai récupéré mon appartement sens dessus dessous parce que Deven a pris soin d'organiser une boum monumentale durant mon absence ; tenture arrachée, déchirée, plantes vertes déterrées, cassées, pot de fleur en terre cuite en miettes (merci Kami pour le ramassage ;-) ) avec un champ de terre en guise de lino, de couvre-lit et de housse de canapé, siège en osier défoncé avec du coup un tapis de paille en bataille en guise d'engrais et j'en passe... je peux dire que la cerise sur le gâteau pour mon retour était assez conséquente.
Là pour le coup, on pourrait conclure que je suis la poisse incarnée, que ma vie n'est que "ratés" et que je tombe donc en ce moment même en pleine dépression (comment ça j'exagère ?). Bon bien sûr, il n'en est rien.
Je relativise bizarrement très bien. Rien n'est grave, rien n'a trop d'importance ; c'est la vie cui cui ! Je ne suis pas infaillible et le manque est l'unique chose à m'atteindre. Pour autant, je pense sincèrement qu'il va falloir bien s'atteler pour réussir à détrôner le sourire Colgate qui me donne des crampes aux zygomatiques depuis plusieurs semaines. =D
Quand ce ne sont pas les orteils nus dans les pieds de table en fer 2 fois par jours, c'est la tête dans les angles de meubles que le coussin du canapé n'a pas protégé ou bien la tête qui s'affale sauvagement sur le mur en pensant que l'épaule allait jouer l'amorti. Mais non malheureusement, une épaule c'est fourbe. Pour poursuivre dans la lancée des problèmes corporels, j'ai eu de bons maux de genoux bien fâcheux -pour changer-, mon poignet n'a cessé d'être pénible et de flancher quand je le monopolisais et un sacré bouton de fièvre m'empêche de bizooter comme je l'entends *frustrée*.
Il est possible que le sort s'acharne sur moi d'une autre manière aussi. Prenons exemple chez les amis cette semaine.
J'étais à Paris depuis vendredi jusqu'à ce matin. Une mini-semaine improvisée qui m'a permis d'aider un peu ma chérie à s'installer dans son premier vrai chez elle. :D
Je n'étais donc pas très disponible pour passer du temps avec qui que ce soit ces derniers jours. Hormis Clém que j'ai eu le plaisir de voir 2 fois durant ce court séjour parce que sa coloc' est situé à 2 rues de là, je n'ai pu (re)voir personne d'autres. Et ce ne sont pas les occasions -somme toute improbables- qui ont manqué ; être vue à Pigalle par un ami/ex d'enfance que je n'ai pas revu depuis des années et qui me demande de venir boire un verre mais ne recevoir son texto d'invitation que 2 heures plus tard *blasée*, ne pas savoir que ma suissesse de pote que je ne vois pas plus qu'une fois par an se trouve en week-end en amoureuses au même moment dans la ville, me situer au retour dans le même train que mon boulet n°1 de pote qui s'en va sur Toulouse la journée même et ce sans le savoir ni la croiser. C'en est trop, je pense que le monde se fout de ma gueule parfois.
Si je rajoute qu'en plus de ça, j'ai récupéré mon appartement sens dessus dessous parce que Deven a pris soin d'organiser une boum monumentale durant mon absence ; tenture arrachée, déchirée, plantes vertes déterrées, cassées, pot de fleur en terre cuite en miettes (merci Kami pour le ramassage ;-) ) avec un champ de terre en guise de lino, de couvre-lit et de housse de canapé, siège en osier défoncé avec du coup un tapis de paille en bataille en guise d'engrais et j'en passe... je peux dire que la cerise sur le gâteau pour mon retour était assez conséquente.
Là pour le coup, on pourrait conclure que je suis la poisse incarnée, que ma vie n'est que "ratés" et que je tombe donc en ce moment même en pleine dépression (comment ça j'exagère ?). Bon bien sûr, il n'en est rien.
Je relativise bizarrement très bien. Rien n'est grave, rien n'a trop d'importance ; c'est la vie cui cui ! Je ne suis pas infaillible et le manque est l'unique chose à m'atteindre. Pour autant, je pense sincèrement qu'il va falloir bien s'atteler pour réussir à détrôner le sourire Colgate qui me donne des crampes aux zygomatiques depuis plusieurs semaines. =D
3 commentaires:
T'as le black Miaou :D
Bonsoir jeune femme,
Alors? un peu de patience....
Pat
Conclusion : "Don't worry, be happy !" :)
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