Il y a une chose dont je ne pourrais absolument pas me passer dans la vie de tous les jours, c'est une horloge. Sous n'importe quelle forme qu'elle soit, mon horloge m'est indispensable et je la promène partout. Du portable à la montre, je jette sans arrêt un oeil dessus. D'ailleurs mon manteau doit souffrir d'incessantes irritations à force de se voir relever la manche ou ouvrir la poche.
Je regarde toujours l'heure, c'en est presque maladif suivant la situation dans laquelle je me trouve. Mais il ne faut pas y voir là un signe de stress. Je le dis parce qu'en général les gens stressés, pressés ont souvent cette manie (les parisiens sont l'exemple parfait dans ce domaine. Mais qu'est-ce que j'en sais finalement ? N'est-ce qu'une idée reçue ou bien est-ce vérifié ?).
J'attends toujours que le temps passe... à ma convenance ; plus vite, plus lentement, se fige.
J'ai donc toujours une raison de regarder l'heure et de me dire si elle me convient ou non suivant le moment que je vis. En y réfléchissant bien, c'est une façon idéale pour se contrarier facilement en fait.
C'est quand même impressionnant l'heure. Qui s'est penché dessus pour fixer le nombre de secondes dans une minute, le nombre de minutes dans une heure, le nombre d'heures dans le jour etc. ? Le rodage est parfait et quand bien même il ne l'est plus, il suffit d'avancer ou de reculer d'une heure et tout rentre dans l'ordre.
L'heure, c'est indispensable. Savoir en un regard à quel moment de la journée on se situe ça rassure. Sans horloge, je perds la notion du temps justement et pas que ça, je suis perdue, j'ai l'impression de ne me raccrocher à rien, d'être là et c'est tout. Pour ma part, aucune notion de limite dans le temps ne signifie donc pas complètement la liberté contrairement à ce que beaucoup pensent.
Je pense que cet attachement au temps renferme un trait de caractère. Une personne obnubilée par le temps sera -j'en suis sûre- plus ponctuelle et régulière qu'une autre lors de rendez-vous par exemple et quand bien même elle ne serait pas à l'heure, elle éprouverait une forme de remord ou comme une déception de n'avoir pas respecté un certain engagement alors que d'autres n'y penserait pas. En comparaison, ça serait un peu le sourire jaune face au sourire Colgate soit amer et je-m'en-foutiste.
Je regarde toujours l'heure, c'en est presque maladif suivant la situation dans laquelle je me trouve. Mais il ne faut pas y voir là un signe de stress. Je le dis parce qu'en général les gens stressés, pressés ont souvent cette manie (les parisiens sont l'exemple parfait dans ce domaine. Mais qu'est-ce que j'en sais finalement ? N'est-ce qu'une idée reçue ou bien est-ce vérifié ?).
J'attends toujours que le temps passe... à ma convenance ; plus vite, plus lentement, se fige.
J'ai donc toujours une raison de regarder l'heure et de me dire si elle me convient ou non suivant le moment que je vis. En y réfléchissant bien, c'est une façon idéale pour se contrarier facilement en fait.
C'est quand même impressionnant l'heure. Qui s'est penché dessus pour fixer le nombre de secondes dans une minute, le nombre de minutes dans une heure, le nombre d'heures dans le jour etc. ? Le rodage est parfait et quand bien même il ne l'est plus, il suffit d'avancer ou de reculer d'une heure et tout rentre dans l'ordre.
L'heure, c'est indispensable. Savoir en un regard à quel moment de la journée on se situe ça rassure. Sans horloge, je perds la notion du temps justement et pas que ça, je suis perdue, j'ai l'impression de ne me raccrocher à rien, d'être là et c'est tout. Pour ma part, aucune notion de limite dans le temps ne signifie donc pas complètement la liberté contrairement à ce que beaucoup pensent.
Je pense que cet attachement au temps renferme un trait de caractère. Une personne obnubilée par le temps sera -j'en suis sûre- plus ponctuelle et régulière qu'une autre lors de rendez-vous par exemple et quand bien même elle ne serait pas à l'heure, elle éprouverait une forme de remord ou comme une déception de n'avoir pas respecté un certain engagement alors que d'autres n'y penserait pas. En comparaison, ça serait un peu le sourire jaune face au sourire Colgate soit amer et je-m'en-foutiste.
1 commentaire:
Tu n'as jamais lu le poème de Baudelaire, "L'Horloge" ? Ça te fait voir cet objet d'une autre façon !
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